Le vocabulaire pour verbaliser ses émotions :
Yves-Alexandre Thalmann nous fournit le vocabulaire pour verbaliser nos 4 émotions fondamentales. La verbalisation permet d’atténuer l’affect. Il est donc utile de prendre l’habitude de poser des mots sur ce que nous ressentons.
Joie : accompli, affectueux, à l’aise, assouvi, bienveillant, chaleureux, comblé, détendu, émerveillé, enchanté, enjoué, enthousiasmé, motivé, optimiste, ravi, revigoré, serein, soulagé, vif, vivant.
Tristesse : abattu, affligé, bouleversé, cafardeux, chagriné, découragé, déçu, démoralisé, démotivé, éploré, esseulé, fatigué, impuissant, mélancolique, misérable, morne, nostalgique, pessimiste, piteux, résigné, triste, vain.
Peur : accablé, affolé, angoissé, anxieux, apeuré, atterré, broyé, craintif, défait, désemparé, déstabilisé, épouvanté, hébété, horrifié, inhibé, inquiet, insécurité, méfiant, paralysé, perplexe, terrorisé.
Colère : agacé, agressif, aigri, amer, contrarié, désagréable, destructeur, énervé, enragé, exaspéré, fâché, frustré, furieux, haineux, horripilé, hystérique, irrité, ulcéré, vindicatif, violent.

Tel est le projet de l’Intelligence émotionnelle ! Nous réconcilier avec nos émotions, afin de nous apprendre à nous en servir plutôt que de les subir. Et tel est également l’objectif de ce petit livre : vous donner les clés pour comprendre les émotions, les vôtres et celles des autres, et y faire face de manière constructive





Une émotion par album. Gaston est une petite licorne différente des autres. Il a une particularité : sa crinière porte les couleurs de l’arc-en-ciel lorsqu’il va bien, mais dès qu’une émotion forte le submerge, sa crinière et sa queue changent de couleur selon son humeur : la tristesse, la colère ou encore la joie par exemple.
À la fin de chaque histoire : des petits gestes magiques (petits exercices très simples) pour aider l’enfant à gérer ses émotions.




Qu’on soit grand ou petit, on a tous dans le coeur une armoire emplie d’émotions. Charline veut faire une surprise à ses parents. Mais aucun bruit… la maison semble vide. D’un coup, la petite fille panique !
Aux parents : Avec les conseils de Louison Nielman, psychologue, pour comprendre et aider les enfants à gérer au mieux leurs émotions.

Pour nous inciter à nous réconcilier en tant que parents avec nos propres émotions et à aider les enfants à en faire l’apprentissage dès que possible, et ce en commençant par leur donner explicitement un droit à l’expression afin de les légitimer et les valoriser.

Grâce aux magnets yeux, bouches et sourcils, il peut reproduire sur le rabat magnétique le visage exprimant chaque émotion… ou en inventer d’autres.



La grande force de cet ouvrage est qu’il ne se réduit pas aux émotions de base mais explore plutôt des « émois ».

Chaque double page est illustrée par un artiste différent, ce qui offre une grande diversité et apporte une singularité à ce titre déjà devenu un best-seller en Espagne.

La vie cachée des émotions
Outils et des activités ludiques pour un apprentissage émotionnel progressif.
Ainsi, vous trouverez des cubes, des roues des émotions, des marionnettes à doigts, des memory, des cartes de gratitude, des cocottes… à confectionner et à manipuler pour se les approprier !

Le premier dès 4 ans : c’est l’initiation aux émotions avec un focus sur les émotions de base que sont la tristesse, la colère, la joie et la peur.

Le deuxième est utilisable dès 6/7 ans : la palette des émotions est étendue. Le vocabulaire et les exercices plus élaborés.


Compréhension du processus de déclenchement des émotions, identification des besoins puis adoption de solutions sous forme de rituels, d’activités, d’outils à créer (comme la roue des choix pour apaiser la colère) ou de programmes complets autour de thèmes précis (jalousie, colère, stress, bonheur…). Nous apprendrons à utiliser notre empathie, à décrypter les comportements de nos enfants, à mettre en place des habitudes qui contribueront au bonheur de tous… Ce qui est particulièrement riche est que les adultes que nous sommes avons, pour beaucoup, des lacunes (voire des blocages) sur le plan émotionnel. Du coup, cet objectif d’aide pour l’épanouissement de nos enfants est aussi l’occasion d’avancer sur notre connaissance personnelle et même de réparer des blessures ou rétablir des droits (« j’ai moi aussi le droit de verbaliser mes émotions »).

Cette personnification semble pertinente comme étape intermédiaire avant la verbalisation totale.